Le roman de Noël de Clarisse Sabard est paru le 8 octobre. « La vie a plus d’imagination que nous » est la suite de « La vie est belle et drôle à la fois » paru l’an dernier. Elle nous parle de ce roman de Noël.
Pourquoi avoir écrit une suite à « La vie est belle et drôle à la fois » ?
J’avais l’idée d’une suite dès l’instant où j’ai commencé à écrire ce roman. Léna a une relation particulière avec ses parents, alors après un premier tome consacré à la disparition de sa mère, j’avais très envie de développer l’intrigue autour du personnage de son père, qui est un homme plein de non-dits. Il cache ses faiblesses derrière son charisme et son rapport aux femmes prend sa source dans ses drames personnels. C’est cet aspect que j’ai eu envie d’évoquer. Et puis, Léna et Clément avaient encore des choses à dire, je n’en avais pas terminé avec eux. L’envie d’écrire cette suite est devenue un besoin… à tel point que j’ai laissé la parole à mes personnages un an plus tôt que prévu.
La famille est une nouvelle fois au cœur de ce roman, que représente-t-elle pour vous ?
La famille est pour moi un refuge essentiel. J’ai grandi entourée d’oncles, de tantes, de cousins… Je me souviens de certains Noël où nous nous réunissions chez mes arrière-grand-parents, on était parfois plus de 15 à table. La famille nous aide à nous construire, que notre histoire soit heureuse ou malheureuse. C’est aussi pour ça qu’elle est au cœur de chacun de mes romans. On ne choisit pas sa famille, comme le dit l’adage, mais toutes ces histoires plus ou moins cachées nous façonnent, d’une façon ou d’une autre.
Qu’avez-vous envie de dire aux futurs lecteurs de ce roman ?
J’espère que vous prendrez autant de plaisir à lire ce roman que j’en ai eu à l’écrire. J’espère que les aventures de Léna vous donneront envie de passer des fêtes chaleureuses et conviviales, en famille ou entre amis. Le principal est d’y prendre du plaisir.