Le résumé
Kate Reddy compte les quelques semaines qui la séparent de la cinquantaine avec effroi. Si on ajoute à cette angoisse les hormones qui s’agitent, des enfants devenus ados qui ont besoin d’elle mais qui ne lui adressent pas la parole, des parents qui vieillissent et redeviennent eux-mêmes des enfants, un mari qui se cherche et a décidé de s’offrir un break pour se consacrer à l’art de la pleine conscience… Kate se trouve prise dans un sandwich qu’elle ne peut même pas avaler à cause des calories ! Et c’est sans compter son retour dans le monde du travail, où la cinquantaine est un tabou…
Juste au moment où elle commence à se débrouiller dans son nouveau boulot, son ancien amant, Jack, réapparaît… Les choses se compliquent, et c’est peu dire.
Mon avis
J’avoue j’ai abandonné cette lecture à 170 pages de la fin. J’ai survolé la suite mais alors vraiment survolé.
Bon alors, oui j’ai aimé les Bridget Jones au moment de leur parution. Quand j’ai eu l’occasion de lire ce roman d’Allison Pearson grâce à l’opération Masse Critique Privilège de Babelio, je me suis dit « allez pourquoi pas un peu de légèreté ? »
Bon c’est délicat mais je trouve ce roman trop mais alors vraiment trop long. Presque 600 pages. La moitié aurait probablement suffi. J’avoue que les tribulations de Kate m’ont fait sourire mais bon c’est tout. Pas de véritable engouement pour ce roman. Rien de nouveau pour Kate presque cinquantenaire : elle doit relever le défi d’élever ses ados à l’heure des réseaux sociaux, où tout bouge si vite, elle veut renouer avec une vie professionnelle après un arrêt important pour se consacrer à sa famille et elle doit en outre assumer la famille financièrement car son époux Richard a décidé de se reconvertir. L’issue est sans suspense évidemment.
Rien ne se déroule simplement bien évidemment. Mais bon les passages sur le « Perry en la demeure » ou toute autre expression qu’elle trouve pour qualifier tous les aléas de sa pré-ménopause sont quand même amusants.
« Abandonné au bout de 170 pages … » Pourtant, cette lecture avait tout pour me tenter et ton avis me refroidit. Y a-t-il des aspects positifs qui pourraient le sauver (comme une bonne lecture estivale sans prise de tête ou l’ensemble des problématiques liées à la cinquantaine …)