Le résumé
À Londres, au bout d’une impasse délabrée, Frank n’est pas un disquaire comme les autres. Chez ce marchand de vinyles, une belle équipe de joyeux marginaux se serre les coudes, tous un peu abîmés par la vie.
Surtout, Frank a un don. Il lui suffit d’un regard pour savoir quelle musique apaisera les tourments de son client. Quitte à préconiser du Aretha Franklin à un obsessionnel de Chopin…
C’est ainsi que Frank fait la rencontre de Lisa, une mystérieuse femme au manteau vert. Après s’être évanouie devant sa boutique, elle le supplie de l’aider à comprendre la musique. Lors de leurs rendez-vous, Frank replonge dans sa propre enfance, revoyant sa mère, l’excentrique Peg, lui passer des vinyles sur sa vieille platine.
Lui qui ne croit plus en l’amour depuis longtemps sent son cœur vibrer à nouveau. Et puis, un jour, Frank découvre le secret de Lisa. Le monde s’écroule, il disparaît.
C’est sans compter, pourtant, sur l’extraordinaire solidarité qui règne sur Unity Street. Car après le chaos, il n’est jamais trop tard pour faire renaître l’espoir et réapprendre à danser…
Mon avis
J’ai aimé le pitch de ce roman que m’a adressé XO Editions. Pourtant, je l’ai trouvé trop lent à mon goût.
J’aimais bien les références musicales qui émaillaient les pages et ce don de Franck. Pour autant, je trouve l’histoire trop longue à se mettre en place même si galerie de personnages autour de Franck semblent tout aussi originaux qu’attachants.
Mais j’aime qu’un livre m’emporte, me transporte et me permette de sortir du quotidien et de la vie qui m’entoure. Là ce fut un échec cuisant. J’ai persévéré mais finalement abandonné après 170 pages.
Je le garde sous le coude dans ma bibliothèque et qui sait, peut-être y reviendrai-je dans quelques temps.