J’avais lu d’une traite « La Ferme du bout du monde« , le second roman de Sarah Vaughan et du coup, j’ai eu très envie de découvrir son premier roman. Mais que dire. Je n’ai pas aimé finalement. Je me suis accrochée car je trouvais intéressant ce thème où une passion permet de gommer les malheurs,les mal-être… La pâtisserie est une sorte de thérapie pour les personnages de Sarah Vaughan dans « La Meilleure d’entre nous« . Un thème original. Pourtant, j’ai trouvé ce livre trop long malgré les émotions que vivent ses personnages et qui transpirent au fil des pages et ne laissent pas le lecteur de marbre. Donc je dirais que je recommande son second roman mais que je reste sceptique pour le premier.
Quatrième de couverture
Angleterre, de nos jours. Le concours pour élire la nouvelle Kathleen Eaden a commencé ! Cinq candidats sont en lice, réunis par une passion commune. Mais la confection d’un cheesecake ou d’un paris-brest ne suffit pas toujours à faire oublier les blessures et les peines.
Jenny, la cinquantaine tout en rondeurs, délaissée par son mari ; Vicki, qui aspire à plus qu’à élever son petit Alfie ; Claire, la jeune caissière mère célibataire qui ne rêve même plus d’une autre vie ; Karen, dont l’apparente perfection dissimule bien des secrets ; sans oublier Mike, veuf en pleine thérapie culinaire… Au cours d’une compétition aussi gourmande qu’échevelée, tous apprendront que l’art de la vie est au moins aussi difficile que celui de la pâtisserie.
Généreux et inspirant, bourré d’émotion et d’humour, un premier roman à dévorer d’une seule traite, peuplé de personnages irrésistibles. Une déclaration d’amour à toutes les saveurs de la vie !